Cécile a perdu sa mère la semaine dernière. Quatre-vingt-quatorze ans. Elle va l’enterrer jeudi aux Adrets, le village de son père en Chartreuse qui y repose depuis trois ans. Je me souviens de son prénom, Juliane, et aussi que chez elle, dans le Nord, à Béthunes, on disait Juyanne. Je l’ai lu dans Pouvoirs magiques, si beau roman des origines, que Cécile a fait paraître en 2015. Je vais le relire.