Pas mieux. Je suis tout de même parvenu à faire un peu de courrier. Essayé entre autres de m’occuper du problème de « l’héritage » de mon oncle Georges. Quelques jours après la cérémonie à Lille, j’ai en effet reçu une lettre recommandée de la société d’assurance qui s’était chargée de s’acquitter de son contrat d’obsèques. Il restait un peu plus de 300 € sur le compte. En cette pénible circonstance, permettez-nous de vous adresser en premier lieu nous sincères condoléances. Afin que nous puissions procéder au règlement du solde du capital, il convient de nous adresser : - la copie intégrale du livret de famille de M. Lapierre Georges – les coordonnées postales de ses enfants… J’ai donc dû expliquer que mon oncle était prêtre et que question progéniture, je n’avais pas d’informations. Mais comme ses cendres avaient été dispersées, j’avais eu alors l’idée d’utiliser cette petite somme pour faire réaliser une plaque commémorative que l’on pourrait apposer dans la paroisse où il avait été curé ou au monastère des sœurs dont il était le chapelain. Visiblement, ce n’était pas simple. L’assureur allait réfléchir. En outre, il fallait que la pose de cette fichue plaque soit possible. L’affaire va peut-être se régler grâce à la gentillesse de M. Lefèvre, l’ancien directeur de la maison de pompes funèbres qui a organisé les obsèques et dont mon oncle était proche. Ce serait bien.