J’ai envoyé mon papier sur le Carole Martinez à Jean. J’ai mis beaucoup plus de temps à l’écrire que je ne le pensais. Le roman est labyrinthique et la chronique a vite fait de se perdre si elle cherche à en suivre les tracés. J’ai pensé aux Carceri d’inventione (1760) de Piranèse tant, dans la narration, tout se croise, se recroise, disparaît à la vue, Des passerelles, des échelles, des ponts, des cordes, des poulies. Je suis resté à l’orée du texte. Dans Dors ton sommeil de brute, les rêves des enfants du monde font advenir d’apocalyptiques désastres. Où est la réalité ? Je me suis juste contenté d'essayer de donner l’envie d’y aller voir.