Antonie et ses filles ont pris le train de la fin de matinée à Granville. Je croyais qu’elles restaient jusqu’à dimanche soir. Louise reviendra seule au mois de juin. J’ai hâte. J’aime beaucoup cette encore petite fille, qui grandit, qui vacille, fragile, courageuse, têtue. Qu’un rien comble et qui attend tellement.