Pendant qu’Amélie partait courir sur la plage (elle devient de plus en plus sportive. Il y avait le longe-côte ici et le Pilates à Paris. Auxquels se sont ajoutés la piscine de la rue de Pontoise le matin tôt et des dizaines de kilomètres de footing chaque fin de semaine), j’ai relu Tropique de la violence, le dernier roman de Nathacha. Olivia de Lamberterie m’a commandé un papier de 1800 signes pour Elle. Il va falloir que je m’en tienne à l’essentiel. Je doute d’arriver à glisser un mot sur son Petit éloge des fantômes qui paraît en même temps chez Folio.