Jeudi 22 juillet 2010. 21h45.
Par Xavier Houssin le mercredi 28 juillet 2010, 00:02 - Lien permanent
Je m’en suis sorti à peu près. Au début de son livre, Michaël Ferrier confie qu’il a pris la décision d’écrire avec la tempête de décembre 1999. Cela m’a donné le fil fragile du papier. J’ai halé tout le texte avec précaution. Ouf… De toute façon, je n’aurais jamais rédigé une critique négative. Elles n’offrent aucun intérêt, d’ailleurs. Mieux vaut s’abstenir. Quand on aime pas, quand on est agacé, c’est ce qu’il y a de mieux à faire. Pas un mot. Pas un seul. Amélie est arrivée au premier train du soir. Je n’avais pas pris le temps de faire les courses. Vite dîné. De bric et de broc.