Le monde clos du Salon. Au centre, Caractères. J’ai maintenant vraiment pris mes repères. Déroulé mes itinéraires. J’ai signé sur le stand en fin d’après-midi. Plein d’amis et de ceux aussi qu’on ne voit qu’une ou deux fois l’an. Auxquels on pense et qui pensent à vous. Montée des cendres entre Rameaux et Pâques… Steven est resté un moment. Il a pu bavarder avec Marie-Pierre de The lost life, son dernier roman pour lequel il cherche un nouvel éditeur en France. Cela ne s’était pas très bien passé chez Phébus pour ses trois précédents titres. Pas de contacts avec les traducteurs, parutions reportées de mois en mois, manuscrits égarés. La faute sans doute au long conflit qui avait accompagné la vente de la maison au groupe Libella. Pas de chance ? Je m’en suis toujours voulu de lui avoir conseillé cet éditeur à ce mauvais moment. J’aimerais bien « rattraper le coup ». Amélie est venue nous rejoindre. Soir de la nocturne. Nous avons trinqué avec les uns, les autres. Rentrés à pied à l’appartement. Fatigués. Contents.